GRATUIT, URRIRIK, FREE, GRATIS, GRATUITO, MURYŌ, FREI, SHABDAKOSH... à Biarritz !

Ce qui est fascinant, chez ces gens qui sont aux manettes de notre ville, c'est qu'ils trouvent toujours de quoi alimenter « Sauvegarder Biarritz ». On croit avoir tout vu et tout lu, et puis... des promeneurs biarrots nous font parvenir cette nouvelle : pour tous ceux qui auraient la maîtrise de la langue d'Aitor, point besoin de délier bourse pour stationner aux parkings de la Milady et de Marbella, que la municipalité a rendus payants voilà peu ! Après la décision très contestée par les usagers-automobilistes ne résidant pas à Biarritz mais aux alentours de notre station balnéaire et donc contraints de passer par la case horodateur avant de poser leur serviette de plage sur le sable, quelle bonne surprise ! La naïveté des Basques ayant tout de même des limites, il semble davantage plausible qu'une traduction hâtive d'une personne pratiquant l'euskara depuis à peine un mois soit en cause. Il est vrai que l'adjointe Anne Pinatel, déléguée à la cultu...