JEAN-BAPTISTE DUSSAUSSOIS-LARRALDE : UN HOMME NEUF, CANDIDAT À LA MAIRIE DE BIARRITZ

Invités à la présentation de candidature du Biarrot Jean-Baptiste Dussaussois-Larralde, Sauvegarder Biarritz souhaite vous faire part de quelques axes rapidement esquissés à l'auditoire, ainsi que des thématiques qu'en face-à-face il a pu nous développer, notamment sur d'autres sujets qui lui tiennent à cœur et qu'il a l'intention de mener en faveur des Seniors, pour les Arts, pour les Écoles, pour la Culture basque, pour la Propreté.

La symbolique du choix du quartier Kleber comme piste de lancement nous est apparue porteuse de sens : un homme neuf se propulse dans un quartier neuf où s'opère une mixité sociale - tant en âges, professionnelle, ou d'origines.

Notons que Jean-Baptiste Dussaussois-Larralde est le premier et le seul candidat à proposer à ce jour l'alternance à la majorité actuelle pour les prochaines Municipales.

Il n'est donc pas surprenant que l'annonce de cette candidature ait déjà remporté la confiance de personnalités biarrotes et apporte un souffle d'air frais et d'espoir pour les élections municipales de 2026, dans une ville qui a régressé sur tous les plans.

Affichant une humeur enthousiaste et souriante, ses soutiens - qui sont bien plus nombreux que ceux présents en cette fin de matinée - étaient venus l'entourer pour cette date marqueur.

Cochant les cases de sérieux, de connaissance des nombreux dossiers municipaux, de représentation digne de notre ville, de vigueur d'un quadragénaire, et parlant avec aisance et dans un français précis, nous devons dire que nous avons été bluffés par l'introduction du candidat Dussaussois-Larralde.

Montrant par les nombreuses personnes présentes à ses côtés - nous étions serrés comme des sardines ! - sa capacité à fédérer, il est important de noter que des personnes qui n'avaient pas, jusqu'ici, mené de combat commun, ont su s'entendre pour accompagner le candidat Jean-Baptiste Dussaussois-Larralde au fauteuil de maire.

En effet, des femmes et des hommes issus aussi bien des mandats des anciens maires Didier Borotra et Michel Veunac, que des anciennes listes de Guillaume Barucq, de Jean-Benoît Saint-Cricq, de Nathalie Motsch, de Richard Tardits, et de Guy Lafite, ont mis de côté d'anciennes bisbilles pour donner un élan positif à un candidat neuf. Et cette diversité de caractères ne peut être que bénéfique pour notre ville.

Tout naturellement, Jean-Baptiste Dussaussois-Larralde - Biarrot depuis plusieurs générations - a d'ailleurs revendiqué sa volonté de réunir des Biarrots qui ont pour seule boussole Biarritz.

Si le candidat est encarté Horizons (centre-droit) et compte déjà sur le «soutien officiel du parti Renaissance», il assure que «C'est une liste pour les Biarrots que je mène et non un combat pour un parti politique», préférant regrouper des personnes compétentes et indéfectiblement attachées à leur ville, sans pour autant verser dans les extrêmes. Il est déjà accompagné d'un «groupe constitué de Biarrots issus d'horizons politiques divers. Certains encartés LR, Horizon, Modem, Renaissance, UDI, Parti Radical, Place Publique, Parti Socialiste et de Biarrotes et de Biarrots issus de la société civile non-encartés, apolitiques».

Nous avons été séduits par cette approche fédératrice lors de sa déclaration : «Je souhaite rassembler et non diviser» ou encore «Nous souhaitons la réconciliation des Biarrots» dans une ville qui a été injustement abimée et confisquée à ses citoyens depuis 2020.

Puis, par son intention de travailler de manière collégiale quand il «souhaite replacer les Biarrots au centre de propositions concrètes» et affirme que «Nous souhaitons proposer un programme où toutes les décisions seront prises dans l'intérêt des Biarrots».

Pleinement conscient que chaque thématique doit être traitée avec assiduité car les Biarrots se retrouvent dans l'abandon depuis cinq ans : le candidat conteste avec force la bétonnisation du plateau Aguilera et se bat pour sa préservation sportive.

Il entend réduire les coûts de fonctionnement pour aboutir à une gestion raisonnée des deniers publics et à une capacité à investir : il nous a appris, entre autres, que madame Arosteguy a embauché à son service cinq DGA (directeur général adjoint) et huit agents à la Communication.

Il veut rendre possible aux Biarrots de stationner à nouveau dans leur ville, à des tarifs rationnels.

Il explique, avec force détails, vouloir rendre disponible du logement sans défigurer la ville.

Il souhaite faire de Biarritz une ville innovante dans la gestion et le traitement de l'eau - en tant qu'ingénieur en Environnement spécialisé dans l'Eau, nous pouvons croire qu'il recèle des solutions miracles !

Il lui tient à cœur de respecter les Biarrots jeunes et seniors, d'engager une politique culturelle accessible à tous et partout, et que les associations culturelles biarrotes retrouvent l'accès à des bâtiments communaux : autant de démarches positives pour les Biarrots.

Celui dont Sud-Ouest disait en 2023 qu'il était un «opiniâtre débatteur en conseil municipal qui lâche rarement le morceau» est déjà bien connu des Biarrots qui suivent l'actualité municipale.

Ce mandat aura permis à l'actuel élu d'opposition de montrer sa manière d'envisager la politique locale : une exemplaire assiduité aux conseils municipaux, de l'écoute, de la fermeté et de la justesse. Même si indubitablement l'exercice est rude à supporter durant ces années Arosteguy, l'élu Dussaussois-Larralde a toujours su garder la tête froide et son calme face à des situations qui auraient pu faire bondir n'importe quel méditerranéen. Cette école de la patience a donné des gages de confiance à des Biarrots qui ont perçu que notre représentation municipale méritait autre chose que de l'absentéisme, de l'amateurisme, des coups de sang et des coups tordus.

Dénonçant sans complaisance le «bilan catastrophique» de la maire actuelle, Jean-Baptiste Dussaussois-Larralde relève que «Ce mandat s'est construit sur un mode de fonctionnement assez particulier, selon lequel la majorité a limité l'intégration de l'opposition dans les discussions pour les décisions dans la ville de Biarritz».

Puis il a entamé un réquisitoire sans appel : «La majorité a amené seule la ville vers une dégradation notoire, générale et continue. Finalement, c'est le mandat de l'inaction et des mauvaises décisions. J'en veux pour exemple que rien n'a été réalisé à Aguilera, que l'Assainissement a été le grand oublié de ce mandat, que la Culture s'éloigne petit à petit des Biarrots et une absence totale de gestion du problème du Logement. Alors mme Arosteguy a raison de dire qu'elle n'a pas les ressources financières pour mener des projets d'envergure dans l'intérêt des Biarrots. Et je suis absolument d'accord avec elle puisqu'elle a notamment augmenté les charges de personnel de 40% depuis le début du mandat. 40%, ça représente 8 millions d'euros supplémentaires de dépenses par an. Evidemment, ce sont 8 millions d'euros supplémentaires qui passent en charges et qui ne vont pas pour l'intérêt des Biarrots, des associations ou de projets d'envergure. Mme Arosteguy aurait pu aller demander des subventions, des aides, notamment auprès de l'agglomération : ce n'est pas ce qui a été fait, que ce soit pour l'Assainissement ou pour la rénovation du stade Aguilera, par exemple. Pire encore, pour compenser cette augmentation radicale des charges, la maire revend le patrimoine de la ville (la Villa Sion, l'Auberge de jeunesse, la villa Fal, un bout de la parcelle de la Chapelle Impériale classée aux Monuments Historiques, les locaux de la Police Municipale, etc). Je pense que la dilapidation n'est pas terminée.».

Il a ensuite porté cette réflexion sur le mandat : «Finalement, ce sont presque six années marquées par un manque de vision de la majorité, un défaut d'ambition qui se traduit par l'absence de réalisations majeures pour améliorer la qualité de vie des Biarrots, l'exclusion méprisante des Biarrots - en particulier des Jeunes et des Seniors -, une défaillance dans l'entretien urbain qui entraîne malheureusement l'enlaidissement de notre ville et le sevrage culturel infligé aux Biarrots. Face à la situation dramatique et inacceptable dans laquelle se trouve aujourd'hui Biarritz, je ne peux rester sans agir. Je prends mes responsabilités, j'ai la volonté de mettre un terme à ce retard accumulé et de rendre Biarritz aux Biarrot.».

Oui, le travail du prochain maire sera immense dans tous les domaines. Le bilan négatif des années 2020-2026, le retard phénoménal pris durant ce sextennat et le gouffre dans lequel Biarritz a été précipitée, forcent le prochain maire à un engagement plein et entier.

Nous laissons le dernier mot à Jean-Baptiste Dussaussois-Larralde : «Nous souhaitons introduire de l'éthique dans la gestion municipale et je souhaite ramener du pragmatisme, du courage et du bon-sens pour Biarritz qui en a bien besoin» et nous nous faisons le porteur de son message : «J'invite les Biarrots à rejoindre le mouvement et à sauver Biarritz !».

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