POUR QUE VOUS RESTIEZ INFORMÉS

«Sauvegarder Biarritz» tient à remercier les 5.000 amis (plafond atteint), les 5.450 «followers» assidus, nos suiveurs d'Instagram et X et toutes les personnes qui lisent notre blog grâce aux partages de nos publications.

Nous sommes aussi reconnaissants envers plusieurs personnalités qui nous accompagnent dans la mission que nous nous sommes donnée.

Ce succès que notre blog connaît auprès des Biarrots était assez prévisible, car «Sauvegarder Biarritz» est le porte-parole de tous ceux qui veulent rendre à Biarritz sa splendeur, son dynamisme et sa douceur de vivre.

Et après avoir attisé l'inquiétude de la maire et des élus de la majorité, désormais cette performance les affole car ils perçoivent bien, publications après publications, que leur étoile pâlit dans les foyers biarrots.

Il est patent que nos articles, qui s'appuient sur des données irrécusables et des informations documentées, cruellement factuelles, dérangent nos édiles.

Certains admirateurs-laudateurs-profiteurs de l'actuelle majorité municipale se seraient satisfaits d'un débat non-démocratique et d'une expression à la liberté limitée.

«Sauvegarder Biarritz» a eu à pâtir de ces museleurs, qui envahis d'inquiétude et d'un malaise certain, se sont adonnés à la scandaleuse tentative de nous faire disparaître.

C'était bien mal nous connaître que d'imaginer que ces intimidations et cette déstabilisation voulues par des gardiens de la pensée unique nous feraient poser nos armes que sont nos stylos et nos claviers.

En outre, ces petits soldats enivrés par de tristes pouvoirs autocratiques pensent-ils que les Biarrots se plieront à la censure ? Non, de telles basses manœuvres se retournent contre leurs initiateurs, les victimes en sortant renforcées dans leurs convictions.

Ce blog, nous l'avions dit à l'occasion de son ouverture, a pour intention d'informer les Biarrots sur ce qui se passe dans leur ville, en venant combler des vides laissés par la presse locale, soit par manque d'intérêt, soit par manque de temps, soit... volontairement.

Nous veillons à rester factuels, c'est la raison pour laquelle nous nous efforçons de documenter nos propos et de circonstancier notre indignation ou notre émotion, lorsque celles-ci sont suscitées.

Nous affirmons notre totale indépendance pour vous restituer ce que nous savons, ce que nous voyons, ce que nous entendons.

Nous revendiquons de n'agir pour le compte d'aucun parti, d'aucune personnalité impliquée dans un militantisme pour quelque chapelle, ni au service d'aucune cause ou idéologie, même si nous recevons le soutien de personnalités qui ont ou vont déposer leur candidature à la prochaine consultation.

Ainsi, portant un regard attentif et éclairé sur la vie politique locale, puisque c'est bien d'elle que dépend l'avenir de notre ville, nous analyserons très objectivement les programmes de tous les candidats et vous donneront notre sentiment.

Alors que nous nous récrions souvent sur des situations de non-retour créées par l'équipe municipale aux commandes, l'avenir de notre ville ne doit plus être confié avec légèreté à des personnes qui se moquent bien de l'héritage que nous laisserons aux futures générations.

Une fois cette mise au point faite, reste qu'il est des vérités qui ne sont pas toujours bonnes à dire, et probablement pas à agréable d'entendre. Pour autant, ce n'est pas parce qu'elles contrarient ou dérangent, qu'elles doivent être tues. Certes, la dissimulation de ces vérités aurait pour vertu de préserver leurs auteurs de l'embarras et de satisfaire tous ceux qui les soutiennent et se reconnaissent en eux.

Mais laisser prospérer des mensonges, des approximations dans la véracité des faits, ou passer sous silence certaines aberrations, injustices et incohérences s'assimilerait à une forme de complicité funeste dont nous devrons répondre demain.

Chacun a droit à son opinion et existeront toujours des dissensions.

Mais le factuel ne relève pas d'un jugement, d'un sentiment ou d'une appréciation. Si bien que pour que soit légitimée une contestation à un récit factuel, il ne suffit pas de l’exprimer de manière simpliste et parfois puérile, souvent avec des sophismes, et presque toujours avec une irrévérence qui se veut l'égale d'une éloquence mais qui ne démontre rien. Encore faut-il que le désaccord s'appuie sur des éléments tangibles.

Sinon, cela devient une «vérité alternative», une vérité améliorée en quelque sorte.

Or une vérité ou une réalité, serait-elle niée par des négateurs, n'en demeure pas moins réelle.

Espérons que «Sauvegarder Biarritz», à défaut du pouvoir de changer les choses, atteigne les consciences.

Merci pour votre fidélité !